Chambre de Maxence Nox-Auror-Professeur de Vol

Maxence entra dans ses appartements. Il était environ 18h et le soleil commençait à se coucher sur Poudlard. Maxence ferma la porte de sa chambre. Sa chambre était située au cinquième étage dans l’aile ouest du château. Maxence avança vers la fenêtre pour admirer le paysage.
Maxence avait une vue magnifique sur une grosse partie du Lac Noir, une partie du château et du hall d’entrée et même d’un petit morceau du parc.
Le soleil se reflétait sur l’eau sombre du Lac. Maxence était ravi. Si seulement il avait eu une vue pareille quand il était encore élève, il serait resté toutes les vacances. La beauté du paysage laissait Maxence sans voix.
D’un coup de baguette, il laissa sa malle, qui flottait derrière lui depuis quelques instants, se poser délicatement sur le parquet de la chambre.
Maxence s’intéressa un peu plus à sa chambre.
Sur la droite quand on rentrait, il y avait un grand lit double, depuis lequel on voyait le Lac. Au milieu de la pièce, il y avait un grand poêle ainsi que deux fauteuils rouges ornés des écussons de l’école et une petite table basse en bois sur laquelle plusieurs grimoires étaient posés. Au fond, sur la gauche, il y avait une petite porte.
Maxence se dirigea vers la porte et la poussa. C’était une petite salle de bain avec une baignoire et tout le nécessaire pour la toilette.
Maxence referma la porte et pivota sur sa droite.
Une petite bibliothèque privée s’y trouvait. Maxence avança vers celle-ci. Il y trouva des dizaines de livres de sortilèges, d’Histoire et de plantes qu’il s’empresserait de lire dès qu’il serait bien installé.
D’un coup de baguette, Maxence ouvrit la malle et toutes ses affaires partirent se ranger dans les étagères prévues à cet effet. Regardant ses capes, ses habits, ses fioles, ses livres et toutes sortes de choses étranges sortir de sa valise et se ranger méthodiquement, Maxence eût un large sourire. C’était bien d’être un Auror à Poudlard. Chambre magnifique avec salle de bain privée et vue splendide, la Directrice avait fait fort.
Maxence s’assit sur un des fauteuils pour observer les dernières lueurs du Soleil qui disparaissaient derrière le montagne. Il poussa un soupir de réconfort et de soulagement.
Il serait bien dans cette chambre.